En juillet, sous un ciel belge clément, je me suis entretenue avec ANSO dans une librairie, au rythme des sons de cloche de l'église voisine.
Elle m'a parlé, entre autres, de son art, de son enfance, de ses racines, de son rapport à sa négritude et comment sa redéfinition et sa réappropriation ont radicalement changé son art.

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